le bonheur c est l instant présent

Lebonheur c’est la vie et l’instant présent, Vivre de ses erreurs c’est apprendre de soi, Faire de magnifiques rencontres en voyageant, Et pouvoir être fier d’être sous un toit. C’est pouvoir voler dans les airs, Pour sentir cette douceur pénétrer dans ma peau, C’est pouvoir se baigner au bord de mer, Et se laisser emporter par les flots. C’est l’amitié où l’estime Apprécionsle soleil qui se lève, réjouissons-nous de le voir se coucher. Arrêtons de dire « il est trop tôt » où « il est trop tard » ; le bonheur est là : il est l’instant présent. Patrick Al’instar de ma bucket list (c’est ma fameuse liste de vie que j’ai partagé dans cet article), j’ai ensuite choisi de consigner par écrit dans un carnet tous ces moments, pour cultiver un état d’esprit plus positif, de reconnaissance et de gratitude, pour savourer le bonheur à l’instant présent. C’est ainsi que j’ai 4août 2020. Le bonheur passe par la capacité à profiter de l’instant Présent, être ici et maintenant. Le désir est à la base de la souffrance qui est la première source de violence. Le désir se situe dans le futur quand nous Profiterde ce que l’on a dans l’instant présent “Le bonheur n’est pas d’avoir tout ce que l’on désire mais d’apprécier ce que l’on a » Paolo Coelho. Au travers de ces nonton film us x her subtitle indonesia. Cet article m’a été inspiré par Sadia, une diététicienne canadienne anglophone vivant aux Pays-Bas, de la chaîne YouTube Pick up limes » que je suis depuis un certain temps. Dans l’une de ses dernières vidéos, elle parle de la recherche du bonheur. Ce sujet m’a interpellée, car en cette période où certains revendiquent toujours plus, il m’a semblé important de revenir aux fondamentaux. Le bonheur n’est pas qu’une question de biens matériels Pour la plupart d’entre nous, la recherche du bonheur est un désir profond. Certains estiment que quand ils auront atteint un certain niveau de vie professionnelle ou personnelle, le bonheur sera là. Bonheur rime souvent avec aisance matérielle. Nous sommes influencés par ce que nous voyons, ce que nous entendons et ce que nous lisons dans les médias. Notre société qui est basée sur le consumérisme laisse une très grande part à la publicité qui essaie de nous faire croire que plus nous achetons, plus nous serons heureux. Or des économistes ont montré qu’au-delà d’un certain niveau de revenu, le bonheur n’augmentait plus. On peut donc en conclure que le bonheur va avec un certain confort matériel. Il est bien évident que dormir sous les ponts ou ne pas manger à sa faim ne contribue pas au bonheur, tant s’en faut. Cela dit, pour la majorité des Occidentaux, ce problème ne se pose pas, même si, quels que soient le pays et son système d’aides sociales, il y a des inégalités sociales et des personnes qui n’ont pas le minimum vital nécessaire. Toujours plus Pour en revenir à la consommation, les médias, sociaux ou traditionnels nous montrent que si nous possédons tel objet ou si nous faisons telle autre chose, nous serons heureux. L’image envoyée est souvent très édulcorée et idéalisée alors que la réalité est très différente. J’entends parfois des personnes dire qu’elles n’ont pas le temps et qu’elles réservent telle activité pour la retraite. Ces personnes ne vivent probablement pas dans le moment présent, mais se projettent dans un avenir idéalisé. Arrivées à la retraite et dans les cas les plus extrêmes, elles ont bien souvent laissé leurs rêves de jeunesse s’envoler et n’ont finalement pas profité de leur vie. Certes, pour avoir le minium vital, il faut travailler, mais doit-on vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? Au jeu du si je fais/achète ceci, alors j’atteindrai le bonheur », nous sommes toujours perdants, car nous ne profitons pas du moment présent. Nous ne profitons pas des petites tranches de bonheur, la plupart du temps non matérielles, qui se présentent à nous. Comme disait la chanson on essaie de nous faire croire que le bonheur est d’avoir ». Parfois, je m’interroge sur la course frénétique à toujours posséder plus que nous voyons en Europe. Pourquoi, quand nous avons atteint un certain confort matériel, vouloir toujours plus ? Bonheur et altruisme Depuis que je pratique la méditation en pleine conscience et le yoga, j’ai réalisé qu’il était très facile de faire entrer du positif dans sa vie et que, finalement, ces petits points positifs finissent par donner des tranches de bonheur. Il est toujours possible de trouver du positif dans sa vie pour peu que nous changions notre regard sur ce qui nous entoure et ceux que nous côtoyons. Le simple fait de dire bonjour », au revoir » et merci » avec le sourire à quelqu’un suffit à éclairer une journée. Nous sommes des êtres sociaux et nous ne pouvons pas toujours nous enfermer dans notre tour d’ivoire. Se comparer en permanence avec les autres et idéaliser sa vie est source de jalousie et de mal-être. Regardez les enfants, ils savent s’étonner de tout et de rien. Pour eux, le moindre objet et source de curiosité et de jeux. Pourquoi avons-nous perdu cette capacité d’émerveillement ? Parce que nous sommes des êtres sociaux et que les messages qui nous parviennent influencent notre comportement. Et que si nous croyons tout ce qui se dit dans les médias, nous risquons de passer à côté de beaucoup de choses. Si nous ne nous posons pas dans l’instant présent, au moins de temps en temps, nous risquons de ne pas apercevoir ce rayon de soleil, cette fleur dont la beauté ne sera peut-être plus là demain, ce sourire d’une personne que nous croisons dans la rue. Profiter de l’instant présent, que ce soit en méditant ou en contemplant ce qui nous entoure permet de nous déconnecter temporairement de cette course frénétique au toujours plus ». Se poser dans l’instant présent permet – d’apprécier ce que nous avons déjà, que ce soit matériel ou immatériel,– de se reconnecter avec soi-même, avec son soi profond, loin des apparences,– tout simplement prendre soin de soi. Et en prenant soin de soi, il sera ensuite possible de prendre soin des autres et de vivre pleinement sa vie d’être humain, une vie sociale et enrichissante. Références La vidéo de Sadia en anglais, sous titres en français à venir, je pense Le bonheur et l’argent l’article original en anglais se trouve dans les Proceedings of the National Academy of Sciences, en anglais, pour celles et ceux qui voudraient le chercher Crédits graphiques Happiness » by Swamibu is licensed under CC BY-NC Ryan Ami, parle-moi du bonheur ! » Auriam Ta langue française le dit d’elle-même en son sein. Écoute Bonheur et Bonne Heure Et l’expression A la bonne heure ! » qui veut dire tant mieux ou temps mieux… Présent et le cadeau, le présent L’heure et l’or Le bonheur, c’est d’être dans ton présent pour ressentir les présents de la Vie. À l’heure, l’heure du temps t’offrira ses richesses. Dans l’instant, tu trouveras le bonheur puisque tu seras à l’heure de ton présent. Fais-toi un présent en vivant dans ton présent… Tu penses parler le Français, mais n’est-ce pas lui qui te parle ? » – 9 octobre 2015 Nous y voilà. C’est avec ce dernier secret » que s’achève notre saga du bonheur. Pour l’illustrer, je vous partage cette citation pleine de sagesse que l’on retrouve dans… Kung Fu Panda ! Et oui, lorsque l’on sait ce que l’on cherche, on peut trouver l’inspiration partout ! Past in History Future is Mistery Today is gift, that’s why it’s called Present » Le passé est histoire, Le futur est mystère, Aujourd’hui est un cadeau, c’est pourquoi on l’appelle le présent » Clé du Bonheur n°7 Profite de l’instant présent Ce secret est le dernier à être révélé dans le livre. Pourtant, c’est pour moi le premier d’entre tous. Le plus important. Peut-être seulement du fait de mon expérience. C’est en effet en travaillant sans relâche sur la découverte du moment présent que j’ai trouvé mon chemin. A la fin de l’année 2012, j’ai vécu des moments difficiles. C’est à cette époque que j’ai découvert le yoga. Tous les lundis soirs, je retrouvais mon prof de Kundalini Yoga et ses élèves dans une grande coloc’ de Grenoble. Un moment que je ne voulais louper sous aucun prétexte. Même sous la pluie battante et sous la neige, en plein décembre, je faisais mes 2 kms en vélo pour assister à ce cours. Ce fut le début de ma guérison. A la fin de chaque cours, on rangeait les tapis et on prenait le temps d’échanger sur nous, nos impressions sur le cours, ou nos vies, simplement. C’est lors d’une de ces petites réunions que mon prof m’a parlé de ce livre, Le Pouvoir du Moment Présent. Beaucoup de choses ont changé à partir de ce moment. A cette époque, j’étais en arrêt maladie donc je passais beaucoup de temps seule chez moi. Au cours de mes activités quotidiennes, aussi simple que de prendre une douche ou de faire du vélo, je m’efforçais de m’ancrer profondément dans ce que je faisais. J’essaye de rester connecté à l’instant présent au maximum. Plutôt que de laisser mon esprit s’abandonner aux idées noires, je luttais pour revenir à l’instant. Ecouter le bruit de l’eau qui s’écoule, sentir cette eau sur ma peau. Observer intérieurement mes muscles en action quand je pédale, le vent, la pluie, la neige sur mon visage. C’est en découvrant justement, le pouvoir de ces instants présents, que j’ai réappris à vivre correctement. Bon, du coup vu le passif, tu comprends mieux pourquoi ce secret est clairement pour moi le plus important de tous. D’un point de vue pratique, j’ai laissé libre cours à mon expérience personnelle pour te partager 2 astuces qui t’aideront à vivre pleinement le moment présent. Ces conseils pratiques ne figurent pas nécessairement dans le livre, mais on s’en fout 🙂 C’est la fin de la saga, alors lâchons-nous ! La méditation de pleine conscience Selon moi, vivre l’instant présent, c’est pratique la méditation de pleine conscience au quotidien. En réalité, c’est appliquer à chaque moment de vie ce que l’on applique sur son tapis. Pour rappel, la méditation de pleine conscience consiste à rester connecté•e à ce qu’il est en train de se passer. Pour y parvenir, différentes méthodes peuvent être utilisées. On peut se concentrer, par exemple, sur la respiration, sur notre posture ou encore sur le contact de notre corps avec le sol – ou un autre objet chaise, coussin, couverture etc. Aujourd’hui, j’ai pris cette habitude de me reconnecter à l’instant dès que j’y pense. En marchant dans la rue, en mangeant, en écoutant mon amoureux me raconter sa journée. J’essaye d’être à 100% dans ce que je suis en train de faire. A termes, je suis vraiment convaincue que ça fonctionne. En 4 ans, tellement de choses ont changé dans ma vie, à commencer par moi-même. M’inscrire aussi souvent que possible dans le moment présent, sans ressasser en permanence le passé et en m’inquiétant beaucoup moins pour l’avenir, me rend de plus en plus happy 🙂 ❂❂ Pour en savoir plus sur la méditation de pleine conscience, jette un oeil à ces billets ❂❂ → 10 bonnes raisons de vous mettre à la méditation → Méditer 5 minutes par jour, on se lance ? La gratitude L’une des astuces pour pouvoir profiter de l’instant présent, c’est aussi d’exprimer sa gratitude envers toutes les belles choses qui nous entourent. J’avais déjà évoqué ce sujet lorsque j’ai publié cet article détonnant Patanjali et les 3 kifs par jour » dans lequel je mets en parallèle 2 notions finalement très proches. La première d’entre elles est celle décrite par Patou dans les Yoga Sutras. C’est la notion de Santosha, ou Contentement. Un principe qui nous rappelle d’être heureux de ce que la vie nous offre. Attention, pratiquer le Contentement ne signifie pas se contenter » dans le sens péjoratif utilisé aujourd’hui. Le Santosha, c’est apprécier les petits et grands bonheurs de la vie de manière active. C’est choisir la vie que l’on veut et en être parfaitement satisfait. La seconde notion est mise en évidence par la formidable Florence Servan-Shreiber. Elle a instauré il y a déjà plusieurs années le concept des 3 kifs par jour. Comment ça marche ? A la fin de sa journée, il suffit de prendre le temps de noter au moins 3 choses qui nous ont fait plaisir. Ton déjeuner avec une copine, le bouquet de fleurs que tu t’es offert sur le chemin du retour, la musique que tu as écoutée dans le métro, le soleil qui te réchauffe la peau, l’odeur des croissants chauds etc. ❁ Bref, choisis la méthode qui te convient le mieux et fonce tête baissée dans la gratitude ! Plus tu la pratiqueras, et plus tu prendras conscience de toutes les belles choses que tu as, de toutes les belles personnes qui t’entourent. Bref, tu réaliseras à quel point ta vie est merveilleuse et la chance que tu as de pouvoir la vivre pleinement ! Sans surprise, c’est avec beaucoup de gratitude que j’achève cette Saga du Bonheur. Pour vous accompagner tout au long de l’été, j’ai souhaité miser sur du contenu léger, facile à lire mais aussi sur un partage d’expérience personnelle. J’espère vous avoir régalés ! Merci d’avoir suivi les aventures de ce moine pas comme les autres dont je vous conseille l’histoire complète. Cliquez sur l’image ci-dessus si vous souhaitez le commander. Je vous retrouve dès la semaine pro, rentrée oblige, avec du contenu 100% yoga ! ❁ Et si ce n’est pas déjà fait, découvre sans plus attendre les autres clés du bonheur ! Clé du Bonheur n°1 Entretenir le jardin Clé du Bonheur n°2 Garder le cap sur ses objectifs Clé du Bonheur n°3 La maîtrise de soi Clé du Bonheur n°4 Développer sa volonté Clé du Bonheur n°5 Gérer son temps Clé du Bonheur n°6 Aider les autres Nous sommes le jeudi 23 septembre, je suis seule à la maison et je contemple le paysage qui m’entoure. La météo est douce, une légère brise me caresse les joues. Mon esprit cogite et vagabonde dans tous les sens. Je pense à notre histoire avec amertume. Je me projette dans un avenir incertain. Tel un funambule, je marche sur la ligne du temps. Quand je me dirige vers le passé, mon cœur est lourd. Alors, je suis déprimée et mélancolique. Lorsque je m’approche du futur, ma gorge se serre et je deviens anxieuse. Le mardi 21 septembre, à 17 heures, je faisais mes courses au supermarché. Un bébé de tout juste un mois pleurait dans sa poussette. Il était entouré de ses deux parents. Le couple était jovial. Toute la famille se trouvait dans le rayon des boissons. Je me suis approchée et j’ai tenté de saisir un pack de jus d’orange. La poussette était encombrante et je peinais à me frayer un chemin entre les étalages. J’ai passé à côté de ce joli bébé que j’osais à peine regarder. Evidemment, mon ange, à chaque fois que je vois un nouveau-né, c’est à toi que je pense. Puis, j’ai croisé le regard plein de fierté de sa maman, qui semblait me dire Il est mignon n’est-ce pas ! ». Je lui ai souri. Si seulement elle savait, si seulement… Mon cœur de maman en souffrance aurait voulu lui dire Profitez ! Moi, j’ai perdu mon bébé il y a quatre mois. Vous avez de la chance !». Je me suis tue. Clairement, j’étais envieuse. J’ai ressenti leur joie qui, pour moi, s’était envolée avec toi le jour de ta mort. Pourquoi, ce petit bébé avait-il plus le droit de vivre, de grandir, de s’épanouir que toi ? Pourquoi ces parents avaient-ils plus le droit de vivre en toute insouciance que nous ? J’ai éprouvé tellement d’injustice. Ce sentiment inavouable qu’on a trop souvent tenté de dissimuler, je ne le refoule plus. J’ai attrapé péniblement mes bouteilles et la maman a murmuré aux oreilles du papa Je pense qu’elle a faim à nouveau ! J’ai pensé tout bas Elle ! C’est une fille ! J’espère qu’ils sont conscients de la chance qu’ils ont d’avoir leur fille auprès d’eux ». Quelques mois plus tôt, je me promenais, moi aussi, le regard rempli de fierté, avec toi en écharpe, dans ce même magasin à la recherche de vêtements. Je n’étais pas consciente, enfin pas pleinement, de ce bonheur pourtant si simple, de pouvoir faire des courses avec toi, ma fille. Cela me paraissait alors normal. J’ai agi mécaniquement, à la recherche d’habits, sans profiter du moment, sans profiter de ton souffle contre ma poitrine, de la chaleur de ton petit corps blotti contre le mien, de la beauté de ton visage, de la perfection qui te caractérisait… Si j’avais su, si seulement… Je m’ efforce à revenir au moment présent. J’observe le mouvement du champ de maïs qui se balance au gré du vent. Je me sens bien. Le bonheur est là, juste sous mes yeux. C’est à moi de l’identifier. Margaux, mon amour, avec ta disparition, j’ai vécu l’horreur, j’ai vécu l’insurmontable, j’ai vécu l’intolérable mais grâce à ta présence dans mon cœur, j’ai saisi le sens de la vie. Le passé et le futur me malmènent encore très souvent, trop souvent, mais j’aperçois petit à petit les graines du bonheur que tu as semées et que tu continues à semer sur mon parcours. Les premières ont germé. Je sais que le véritable bonheur se trouve dans l’instant présent. Aujourd’hui est le plus beau jour de notre vie, car hier n’existe plus et demain ne se lèvera peut-être jamais ». Bruno Combes Merci de m’avoir ouvert les yeux, petit cœur ! Le bonheur est dans l'instant parce que seul l'instant est vrai, seul l'instant existe et si vous voulez connaître le vrai bonheur vous devez être dans un vrai temps. Mais, il ne suffit pas de le vouloir il faut savoir comment faire pour y arriver. Seul existe l'instant. Le passé n'est plus, le futur n'est pas encore. Le bonheur est maintenant In english Les mots en bleu sont des liens menant à des textes explicatifs. Pour les ouvrir faites un clic droit dessus et choisissez ''ouvrir le lien dans un nouvel onglet '' Le blog où se trouvent les satsang est ici Ce serait comme d'avoir le mal de mer en restant sur la terre Il y a en vous une telle douceur, une telle paix que vous ne devriez autoriser rien ni personne à vous en détourner. Si tout autour de vous les gens s'agitent, se pressent vous n'êtes pas obligé de marcher aussi vite. ''Va au Royaume intérieur et reste dans la plus parfaite paix '' Bhaktimàrga 1-3-18 Il y a en vous une telle stabilité qu'il suffit que vous la rencontriez pour être aussi stable qu'elle. Il est possible de rester en elle, comme à bord d'un vaisseau impavide dans la tempête, et de regarder, en toute sécurité, monter les vagues impuissantes. Elles ne vous atteindront pas tant que vous resterez à bord. Les affres où vous plongent les tempêtes ne sont qu'un mauvais rêve et pourtant tout paraît si vrai ! Et votre souffrance aussi. C'est comme un mal de mer sur terre. Parfois des éclairs d'énervement viennent brusquement Parfois des éclairs d'énervement viennent brusquement vous tirer hors de l'abri, mais ne vous laissez pas faire. Parfois vous êtes agacé à cause de quelque chose ou de quelqu'un. Chaque fois que vous ressentez de l'incompréhension, de l'impatience, de la frustration, de la vanité, replongez, plus encore, votre attention où reste la paix. Elle est en votre dedans. Il y a bien quelqu'un, en vous, qui aime s'énerver Quand on va au rythme de l'harmonie, du Saint-Nom, il y a quelque chose, en vous, qui préfère s'énerver, mais ne lui prêtez pas attention. Qu'il tourne à vide. Il peut crier, vitupérer, délirer, se plaindre et tenter de vous entraîner dans le tourbillon de sa déraison, ne lui accordez aucune attention. Revenez à cette stabilité intérieure que vous connaissez, vous qui avez eu la Révélation, observez les quatre piliers et retrouverez la paix. Il y a en votre dedans une paix si belle, si simple et si vraie Il y a en vous une paix si belle, si simple et si vraie que je m'étonne que tant d'entre vous soient en peine. Il ne s'agit pas seulement de ceux qui vivent sous les bombes ou sous une autorité cruelle, non il s'agit de gens, comme vous, qui ont absolument tout pour être heureux. Cela ne veut pas dire qu'ils ont tout maison luxueuse, voitures puissantes, piscine, appareils high-tech, montres suisses à complications, etc. Ces gens malheureux ont souvent une bonne santé, la liberté, l'affection de proches et de quoi satisfaire leurs besoins fondamentaux, pourtant ils ont, en eux, une insatisfaction permanente, une peine sans raison. Le faux-ego Ce quelque chose, au fond de vous, qui vous fait souffrir c'est le revers de votre liberté le faux-ego. '' Qui connaît le détachement et garde contenu le faux-ego, qui reste d'humeur égale et déterminé dans le service, celui-là est l'ami de Dieu.'' Le Chant de l'éveillé, 1213-14 Vous vous nourrissez de tout ce qui vous traverse Tout vous interpelle, tout vous affecte, vous êtes des éponges qui se nourrissent de tout ce qui les traverse, alors adieu le présent, bonjour le passé, le futur et la confusion… S'il pleut vous dites quel mauvais temps » et il se met à pleuvoir dans votre esprit. Mais, si vous viviez l'instant, le bonheur d'être vivant vous ne pourriez que rendre grâce à votre créateur. Ne vous laissez plus berner par le faux-ego, traitez-le par l'indifférence. C'est possible par la pratique de La Voie. ''Le mal a tant de noms il est faux-ego, inconscience, malin et celui-qui-sépare. '' Baktimàrga 1-4-31 de contact Le blog des satsang Avec un smartphone ou certaines tablettes, ce blog est moins confortable. Si vous le pouvez, visitez-le à partir d'un ordinateur.

le bonheur c est l instant présent